AIR FRANCE - KLM : transfert de slots à Londres Heathrow

Le  21 octobre 2015

Air France-KLM : transfert de slots à Londres Heathrow

Air France-KLM a signé aujourd'hui avec son partenaire Delta Air Lines un contrat de transfert de 6 paires de créneaux (« slots ») à Londres Heathrow. Le Groupe mettait déjà ces slots à la disposition de Delta depuis plusieurs années. Le programme de vol du Groupe sur Londres n'est donc pas affecté par cette opération.

Ce transfert renforce la capacité de Delta à offrir, au départ de Londres Heathrow, un programme de vol continu et stable tout en accroissant sa flexibilité.

Cette opération générera une entrée de trésorerie de 276 millions de dollars US au quatrième trimestre 2015. La plus-value avant impôt associée sera enregistrée en produit non courant dans les comptes annuels 2015.

Elle s'inscrit dans la politique de gestion dynamique du portefeuille d'actifs du Groupe et contribue à son désendettement.

Air France-KLM confirme son objectif d'une dette nette d'environ 4,4 milliards d'euros à la fin 2015.

A propos de la Joint-Venture transatlantique
Avec plus de 250 vols transatlantiques assurés quotidiennement par Air France-KLM, Alitalia et Delta Air Lines grâce à une flotte de 129 avions, la Joint-Venture (JV) transatlantique permet aux clients d'avoir accès à un vaste réseau permettant un plus grand nombre de vols, des tarifs plus concurrentiels et une harmonisation des services proposés sur les vols transatlantiques. Le réseau de la JV est structuré autour de 7 plates-formes de correspondances majeures : Amsterdam, Atlanta, Detroit, Minneapolis, New York-JFK, Paris-CDG et Rome-FCO, ainsi que Cincinnati, Salt Lake City et Seattle.  La JV propose un accès à près de 300 destinations au-delà des 25 portes d'entrée en Amérique du Nord et près de 250 destinations au-delà des 28 portes d'entrée européennes en Europe, Asie et Amérique Latine. Cette joint-venture  représente environ 25% de la capacité totale du trafic aérien transatlantique et a généré un chiffre d'affaires de 13 milliards de dollars US en 2014. Selon l'accord, les partenaires exploitent conjointement leurs routes transatlantiques, en partageant les coûts et les recettes.