Bombardier met à jour ses prévisions à la suite de la clôture du partenariat C Series entrant en vigueur le 1er juillet 2018


  • Retrait des résultats financiers du programme C Series du périmètre de consolidation des résultats de Bombardier à compter du 1er juillet 2018
  • Prévision de RAII(1), sur base consolidée, augmentée pour se situer dans la fourchette de 900 M$ à 1,0 G$, et prévision de revenus réduite pour se situer dans la fourchette de 16,5 G$ et 17 G$, reflétant surtout le retrait des résultats du programme C Series pour le reste de 2018
  • Confirmation de la prévision de flux de trésorerie disponibles(1) pour l’exercice
  • Révocation des prévisions pour l’exercice pour le secteur Avions commerciaux; Confirmation de la prévision de livraisons d’environ 35 avions régionaux en 2018

MONTRÉAL, 08 juin 2018 (GLOBE NEWSWIRE) -- Bombardier (TSX:BBD.B), Airbus et Investissement Québec se sont entendus pour clore le partenariat C Series le 1er juillet 2018 après avoir reçu toutes les approbations réglementaires requises.

« Conclure le partenariat avec Airbus plus tôt que prévu nous place en position d’accélérer la création de valeur pour nos actionnaires, alors que nous combinons les avions C Series novateurs avec l’envergure et la portée mondiales d’Airbus, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction de Bombardier Inc. Ce jalon étant réalisé, tous nos efforts sont désormais axés sur la concrétisation des opportunités de croissance pour l’ensemble du portefeuille et sur la réalisation des objectifs restant à atteindre dans le cadre de notre plan de redressement. »

Le partenariat avec Airbus sera conclu et entrera en vigueur le 1er juillet 2018. Par conséquent, Bombardier retirera de son périmètre de consolidation les résultats financiers du programme C Series à compter du 1er juillet 2018. En conséquence de cette clôture réalisée plus tôt que prévu, Bombardier révoque sa prévision pour l’exercice pour son secteur d’activité Avions commerciaux. L’entreprise confirme cependant sa prévision de livrer environ 35 avions régionaux en 2018 et devrait présenter des prévisions de revenus et de RAII pour 2018 mises à jour pour le secteur d’activité en même temps que ses résultats du deuxième trimestre le 2 août 2018.

La clôture anticipée résultera en des revenus prévus pour 2018 se situant dans la fourchette de 16,5 milliards $ à 17 milliards $, alors que les revenus du programme C Series à compter du 1er juillet et après ne seront plus consolidés dans les résultats financiers de Bombardier. En outre, les ventes de Aérostructures et Services d’ingénierie à SCACS ne seront plus comptabilisés à titre de revenus intersectoriels. Le RAII, sur base consolidée, de Bombardier Inc. pour l’exercice devrait augmenter pour se situer dans la fourchette de 900 millions $ à 1,0 milliard $ alors que les résultats liés au programme C Series ne seront plus pleinement comptabilisés après la clôture. De plus, des rajustements à la quote-part des résultats de SCACS incluse dans notre prévision RAII pourraient être requis en fonction des résultats futurs de SCACS.

Les prévisions de flux de trésorerie disponibles pour l’exercice demeurent inchangées, soit des flux de trésorerie disponibles neutres plus ou moins 150 millions $, compte non tenu du produit de la vente de la propriété de Downsview. De plus, les engagements de Bombardier sur le plan de la trésorerie relativement au programme C Series en vertu du partenariat avec Airbus seront comptabilisés comme des activités d’investissement, reflétant la réception d’unités de participation de SCACS le cas échéant.

Comme annoncé précédemment, Bombardier continuera son plan actuel de financement de SCACS. En raison de la clôture anticipée du partenariat, les conditions de ce plan sont mises à jour conformément à l’échéancier suivant : Bombardier financera les déficits de trésorerie de SCACS, si nécessaire, au cours du second semestre de 2018, jusqu’à un maximum de 225 millions $; jusqu’à un maximum de 350 millions $ en 2019; et jusqu’à un montant total maximum de 350 millions $ au cours des deux années suivantes, en échange d’unités participantes de SCACS avec droit à un dividende annuel cumulatif de 2 %. Tout déficit de trésorerie excédentaire enregistré au cours de ces périodes sera partagé proportionnellement entre les porteurs d’actions classe A de SCACS.

L’entreprise demeure en bonne voie d’atteindre les objectifs pour 2020 de son plan de redressement, qui reflètent déjà le retrait des résultats du programme C Series de son périmètre de consolidation. L’opération sera comptabilisée comme une cession de SCACS en échange d’un pourcentage de participation dans le nouveau partenariat évalué à la juste valeur du marché. De plus, la clôture de l’opération devrait résulter en une charge comptable nette d’environ 500 millions $. La charge nette découle essentiellement de la comptabilisation de la valeur marchande des bons de souscription émis par Bombardier au bénéfice d’Airbus au 1er juillet 2018, et à un passif dérivé associé à la prévision de rendement hors marché des unités de participation qui seront émises par SCACS au bénéfice de Bombardier en vertu des engagements de financement de Bombardier. L’incidence de l’opération à la clôture sera traitée comme un élément spécial au deuxième trimestre.

À propos de Bombardier
Avec plus de 69 500 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.

Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier possède des installations de production et d’ingénierie dans 28 pays, couvrant les secteurs Transport, Avions d’affaires, Avions commerciaux et Aérostructures et Services d’ingénierie. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2017, nos revenus ont été de 16,2 milliards $ US. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

(1) Prévision de RAII désigne le RAII avant éléments spéciaux, tel que défini dans la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs de la section Sommaire du Rapport financier 2017 de la Société. Le RAII avant éléments spéciaux et les flux de trésorerie disponibles sont des mesures non conformes aux PCGR. Voir la rubrique Mesures non conformes aux PCGR dans la section Sommaire du Rapport financier 2017 de la Société pour plus d’information sur ces indicateurs.

Bombardier est une marque de commerce de Bombardier Inc.

Pour information
 
Simon LetendrePatrick Ghoche
Gestionnaire, Vice-président, 
Relations avec les médias et affaires publiquesRelations avec les investisseurs
Bombardier Inc.Bombardier Inc.
+514 861 9481+514 861 5727

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos anticipations, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; l’incidence et les avantages escomptés de l’opération avec Airbus décrite aux présentes sur nos activités, notre infrastructure, nos capacités, notre développement, notre croissance et autres occasions, notre présence et notre dimension géographiques, notre empreinte, notre situation financière, notre accès à des capitaux et notre stratégie générale; et l’incidence de cette opération sur notre bilan et notre situation financière.

Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable lorsqu’il est question de Bombardier et de SCACS. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés de nos objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de nos activités et de l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.

De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse relativement à l’opération avec Airbus décrite aux présentes comprennent les hypothèses importantes suivantes : le respect et l’exécution par chacune des parties de ses obligations aux termes de l’accord relatif à l’opération et aux accords commerciaux futurs et l’absence d’inefficacités importantes et d’autres problèmes connexes; la réalisation des avantages et des synergies prévues de l’opération selon l’échéancier prévu; notre capacité à maintenir notre plan de financement actuel de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère adéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et l’exactitude de notre évaluation des facteurs de croissance prévus et des tendances sectorielles. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir les rubriques Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Avions d’affaires, Avions commerciaux, Aérostructures et Services d’ingénierie et Transport du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.

En ce qui a trait spécifiquement à l’opération avec Airbus faisant l’objet des présentes, certains facteurs, qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, comprennent ce qui suit, sans s’y limiter : le défaut de l’une des parties de respecter et d’exécuter ses obligations aux termes de l’accord relatif à l’opération et aux accords commerciaux futurs et/ou des inefficacités importantes et d’autres problèmes connexes; l’incidence de l’annonce de l’opération sur nos relations avec les tiers, notamment les contreparties commerciales, les employés et les concurrents, ainsi que sur les relations stratégiques, les résultats d’exploitation et les entreprises en général; la non-réalisation des avantages ou des synergies prévus de l’opération ou le fait qu’ils ne soient pas réalisés selon l’échéancier prévu; notre capacité à maintenir notre plan de financement actuel de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère inadéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet. Parmi les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale (y compris les modifications potentielles à l’Accord de libre-échange nord-américain actuel entre le Canada, les É.-U. et le Mexique qui fait l’objet de discussions, ou son abrogation), à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou catastrophes naturelles), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; à notre capacité de mettre en œuvre et de réaliser avec succès notre stratégie et notre plan de transformation; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.

Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que nous ne connaissons pas ou que nous considérons comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. En outre, rien ne garantit que les avantages stratégiques prévus et les synergies attendues sur le plan de l’exploitation, de la concurrence et des coûts de l’opération avec Airbus seront réalisés en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.