L’analyse Multivariee Finale De L’etude MAGNITUDE De Phase 3 Révèle Une Tendance A L’amélioration De La Survie Globale Chez Les Patients Atteints D’un Cancer De La Prostate Métastatique Résistant A La Castration Et Présentant Des Altérations Du Gène BRCA, Traités Par Niraparib Et Acétate D’abiratérone Plus Prednisone


Le traitement combiné niraparib et acétate d’abiratérone plus prednisone a également démontré une amélioration cliniquement pertinente par rapport au traitement conventionnel du délai avant progression symptomatique et du délai avant chimiothérapie cytotoxique1

BEERSE, BELGIQUE, 25 oct. 2023 (GLOBE NEWSWIRE) -- Le laboratoire pharmaceutique Janssen du groupe Johnson & Johnson a annoncé aujourd’hui les résultats de l’analyse finale (AF) de l’étude MAGNITUDE de Phase 3, au cours de laquelle une analyse multivariée (AMV) planifiée à l’avance a révélé que le niraparib, un inhibiteur hautement sélectif de la poly (ADP-ribose) polymérase (PARP), associé à l’acétate d’abiratérone et administré avec de la prednisone, avait amélioré la survie globale (SG) chez les patients atteints de cancer de la prostate résistant à la castration métastatique (CPRCm) et présentant des altérations BRCA1/2 (BRCA+). Une amélioration continue du délai avant progression symptomatique (TSP) et du délai avant chimiothérapie cytotoxique (TCC) a également été observée dans l’AF.1 Ces données ont été présentées aujourd’hui lors d’une séance de mini-présentation orale tardive au congrès 2023 de la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO) se déroulant du 20 au 24 octobre à Madrid, en Espagne (résumé #LBA85).1

L’AF de l’étude MAGNITUDE a inclus 225 patients atteints de CPRCm BRCA+ en première intention (la plus grande population étudiée à ce jour), où 113 patients ont été randomisés pour recevoir le niraparib plus acétate d’abiratérone et prednisone (AAP) et 112 patients ont été affectés au groupe placebo plus AAP.1 Après 35,9 mois de suivi médian (9,1 mois de suivi supplémentaires par rapport à la deuxième analyse intermédiaire, présentée à l’ASCO GU 2023,2 ayant fait état du critère d’évaluation principal [survie sans progression radiographique]), la SG de 30,4 mois a été en faveur des patients ayant reçu le niraparib plus AAP, contre 28,6 mois pour le groupe placebo plus AAP (rapport de risque [RR] = 0,79 ; intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 0,55–1,12 ; valeur de P nominale = 0,183).2 Une AMV préspécifiée, ajustant les déséquilibres initiaux, a révélé un bénéfice en matière de SG en faveur des patients ayant reçu le niraparib plus AAP par rapport au comparateur (RR = 0,66 ; IC à 95 pour cent, 0,46–0,95 ; valeur de P nominale = 0,024).1 Une amélioration continue du TSP a également été observée chez les patients ayant reçu le niraparib et AAP par rapport aux patients randomisés dans le groupe placebo plus AAP (RR 0,56 ; IC à 95 pour cent, 0,37–0,85 ; valeur de P nominale = 0,006).1 En outre, une évaluation du TCC a indiqué une amélioration cliniquement significative chez les patients présentant des mutations BRCA+ et traités par niraparib et AAP (RR 0,60 ; IC à 95 pour cent, 0,39–0,92 ; valeur de P nominale = 0,019).1 Enfin, 70 pour cent des patients du groupe niraparib et AAP ont reçu un traitement prolongeant la vie ultérieur, contre 86 pour cent des patients affectés au groupe placebo plus AAP.1

« Chez Janssen, nous croyons au potentiel transformateur de la médecine de précision et nous nous engageons à étudier comment elle peut aider les patients à obtenir les meilleurs résultats possibles dans le cadre du CPRCm », a déclaré Martin Vogel, Responsable du domaine Thérapeutique en Oncologie pour l’EMEA, Janssen-Cilag GmbH. « L’étude MAGNITUDE a été spécifiquement conçue pour identifier la population de patients atteints de CPRCm qui bénéficierait le plus de cette association à base de niraparib. Nous sommes ravis de constater que l’analyse finale à trois ans de l’étude étaye le potentiel de l’association niraparib et AAP en tant que nouveau traitement conventionnel pour les patients atteints de CPRCm présentant des mutations BRCA ».

Les résultats rapportés par les patients ont également été évalués dans l’AF. Les résultats indiquent que chez les patients atteints de CPRCm et présentant des mutations BRCA+ traités par l’association niraparib et AAP, une tendance à la prolongation du délai avant progression de la pire douleur (RR 0,81 ; IC à 95 pour cent, 0,52–1,25) et avant progression de l’interférence de la douleur (RR 0,77 ; IC à 95 pour cent, 0,48–1,23) a été observée par rapport au bras placebo.1

« Malgré les avancées thérapeutiques, le CPRCm reste une maladie incurable et mortelle, et les patients présentant des altérations BRCA1/2 sont plus susceptibles d’avoir des résultats médiocres et une durée de survie plus courte », a déclaré le docteur Guilhem Roubaud*, M.D., oncologue médical à l’Institut Bergonié, Bordeaux, France, et investigateur de l’étude MAGNITUDE. « La survie globale favorable, ainsi que les signaux clés d’amélioration de la progression de la maladie, observés dans l’analyse finale de l’étude MAGNITUDE sont prometteurs pour les patients et soulignent l’importance potentielle de cette nouvelle option thérapeutique ».

L’AF n’a observé aucun nouveau signal de sécurité et aucun cas de syndrome myélodysplasique ou de leucémie myéloïde aiguë n’a été observé chez les patients du groupe niraparib et AAP.1 Le groupe niraparib plus AAP a présenté des taux plus élevés d’événements indésirables (EI) d’intérêt particulier que le bras placebo, les plus fréquents, tous grades confondus, étant l’anémie (52,4 pour cent contre 22,7 pour cent) et la thrombopénie (24,1 pour cent contre 9,5 pour cent), respectivement. Les différences en matière de sécurité entre les bras de traitement étaient dues aux toxicités hématologiques connues du niraparib.1

« Nous sommes déterminés à faire progresser la science du cancer de la prostate et à mettre au point de nouvelles options thérapeutiques ciblées pour prolonger la vie des patients », a déclaré le docteur Angela Lopez-Gitlitz, M.D., vice-présidente, oncologie : Phase de développement avancée, cancer de la prostate, Janssen Research & Development, LLC. « Ces données soulignent l’importance d’identifier les patients atteints d’un cancer génétiquement défini afin d’établir les protocoles thérapeutiques de façon optimale et de s’assurer qu’ils reçoivent les traitements disponibles adaptés à leurs besoins uniques. »

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À propos de l’étude MAGNITUDE

L’étude MAGNITUDE (NCT03748641) est une étude clinique multicentrique de Phase 3, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, évaluant l’innocuité et l’efficacité de l’association niraparib et AAP chez les patients présentant un CPRCm, avec ou sans certaines altérations du gène de réparation par recombinaison homologue (RRH), n’ayant pas reçu de traitement antérieur pour le CPRCm, à l’exception du traitement conventionnel, d’inhibiteurs des récepteurs aux androgènes de nouvelle génération et jusqu’à 4 mois d’AAP.2,3 Les patients ont été randomisés pour recevoir soit du niraparib plus AAP, soit un placebo plus AAP. De plus, dans une cohorte en ouvert de patients RRH-positifs, tous les patients ont reçu le comprimé à double action de niraparib et d’acétate d’abiratérone plus prednisone.2,3 Le critère d’évaluation principal de l’essai MAGNITUDE est la survie sans progression radiographique déterminée par un comité indépendant de relecture centralisée. Les critères d’évaluation secondaires comprennent le TCC, le TSP et la SG.3

Le 21 avril 2023, la Commission européenne a autorisé AKEEGA® (niraparib et AA), sous la forme d’un comprimé à double action (DAT), administré avec de la prednisone ou de la prednisolone, pour le traitement des adultes présentant un cancer de la prostate résistant à la castration métastatique (CPRCm) et des mutations BRCA1/2 (germinales et/ou somatiques) chez qui la chimiothérapie n’est pas cliniquement indiquée.4,5 Cette autorisation était basée sur les résultats de l’étude MAGNITUDE.

À propos du niraparib

Le niraparib est un inhibiteur hautement sélectif de la poly (ADP-ribose) polymérase (PARP) administré par voie orale actuellement étudié par Janssen pour le traitement des patients atteints d’un cancer de la prostate.4,6 D’autres études en cours incluent l’étude AMPLITUDE de Phase 3 évaluant l’association du niraparib et de l’AAP dans une population de patients sélectionnés par biomarqueurs atteints d’un cancer de la prostate sensible à la castration métastatique (CPSCm).6

En avril 2016, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord mondial (à l’exception du Japon) de collaboration et de licence avec TESARO, Inc. (acquis par GlaxoSmithKline [GSK] en 2019) pour les droits exclusifs du niraparib dans le cancer de la prostate.7,8

Dans l’Union européenne, le niraparib est indiqué en monothérapie pour le traitement d’entretien des patients adultes atteints d’un cancer épithélial avancé de l’ovaire, des trompes de Fallope ou du péritoine primitif qui présentent une réponse complète ou partielle à la fin d’une chimiothérapie à base de platine de première intention ; et en monothérapie pour le traitement d’entretien des patients adultes atteints d’un cancer épithélial grave de haut grade de l’ovaire, des trompes de Fallope ou du péritoine primitif en réponse complète ou partielle à une chimiothérapie à base de platine.9 Le niraparib est actuellement commercialisé par GSK sous le nom de ZEJULA®.9

À propos du cancer de la prostate résistant à la castration métastatique

Le cancer de la prostate résistant à la castration métastatique (CPRCm) est un cancer qui ne répond plus à un traitement antiandrogénique (TAA) et s’est propagé à d’autres parties du corps.10 Les sites métastatiques les plus fréquents sont les os, suivis des ganglions lymphatiques, des poumons et du foie.11 Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez les hommes en Europe.12 Chaque année, plus d’un million d’hommes dans le monde reçoivent un diagnostic de cancer de la prostate.13 Les patients présentant un CPRCm et des altérations du gène de RRH, dont les mutations BRCA sont les plus fréquentes, sont plus susceptibles de faire l’objet d’une maladie agressive, de mauvais résultats et d’une durée de survie plus courte.14,15,16,17

À propos de l’acétate d’abiratérone

L’acétate d’abiratérone est un inhibiteur de la biosynthèse des androgènes administré par voie orale. Dans l’Union européenne, l’acétate d’abiratérone est indiqué avec la prednisone ou la prednisolone dans le traitement du cancer de la prostate hormonosensible métastatique (CPHSm) à haut risque nouvellement diagnostiqué chez les hommes adultes en association avec un TAA ; le traitement du CPRCm chez les hommes adultes asymptomatiques ou légèrement symptomatiques après échec d’un TAA chez qui la chimiothérapie n’est pas encore cliniquement indiquée ; et le traitement du CPRCm chez les hommes adultes dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de docétaxel.18

L’acétate d’abiratérone est actuellement commercialisé par Janssen-Cilag International NV sous le nom de ZYTIGA®.18

À propos du laboratoire pharmaceutique Janssen du groupe Johnson & Johnson
Chez Janssen, nous créons un avenir où la maladie appartient au passé. Nous sommes un laboratoire pharmaceutique du groupe Johnson & Johnson et nous travaillons sans relâche pour que cet avenir devienne une réalité pour les patients du monde entier, en combattant la maladie par la science, en améliorant l’accès par l’ingéniosité et en guérissant le désespoir par tous nos efforts. Nous nous concentrons sur les domaines de la médecine où nous pouvons faire la plus grande différence : oncologie, immunologie, neurosciences, maladies cardiovasculaires, hypertension pulmonaire et rétine.

Pour en savoir plus, consultez le site www.janssen.com/EMEA. Suivez-nous sur www.twitter.com/janssenEMEA pour découvrir nos dernières actualités. Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag GmbH et Janssen Research & Development, LLC font partie du laboratoire pharmaceutique Janssen du groupe Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives

Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant le développement des produits et les bénéfices potentiels ainsi que l’impact du traitement par niraparib, acétate d’abiratérone + prednisone. Le lecteur est invité à ne pas se fier à ces déclarations prospectives. Ces déclarations sont basées sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou présentent des risques ou des incertitudes connus ou inconnus, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-CilagGmbH, Janssen Research & Development, LLC ou de l’un des autres laboratoires pharmaceutiques Janssen et/ou de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes incluent, sans s’y limiter : les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des approbations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, y compris les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents ; les contestations de brevets ; les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les changements de comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé ; les modifications des lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur formulaire 10-K pour l’exercice clos le 2 janvier 2022, y compris dans les sections intitulées « Mises en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque », et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni les laboratoires pharmaceutiques Janssen ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs.

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* Le Dr. Roubaud a été un consultant de Janssen ; il n’a pas été rémunéré pour son travail dans les médias.

Références


1 Chi KN, et al. Niraparib (NIRA) with abiraterone acetate plus prednisone (AAP) as first-line (1L) therapy in patients (pts) with metastatic castration-resistant prostate cancer (mCRPC) and homologous recombination repair (HRR) gene alterations: Three-year update and final analysis of MAGNITUDE. Présentation orale LBA85, du congrès 2023 de la Société européenne d’oncologie médicale, 22 octobre 2023.
2 Efstathiou E, et al. Niraparib With Abiraterone Acetate and Prednisone in Patients With Metastatic Castration-Resistant Prostate Cancer and Homologous Recombination Repair Gene Alterations: Second Interim Analysis of MAGNITUDE. Résumé 170, réunion annuelle de l’ASCO GU 2023. 16 février 2023.
3 Clinicaltrials.gov. A Study of Niraparib in Combination With Abiraterone Acetate and Prednisone Versus Abiraterone Acetate and Prednisone for Treatment of Participants With Metastatic Prostate Cancer (MAGNITUDE). Disponible sur : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT03748641. Dernière consultation : octobre 2023.
4 European Medicines Agency. AKEEGA Summary of Product Characteristics. juin 2023. Disponible sur : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/akeega-epar-product-information_en.pdf Dernière consultation : octobre 2023.
5 Janssen EMEA. Communiqué de presse. Disponible sur : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/akeega_niraparib_and_abiraterone_acetate_dual_action_tablet_ec_approval.pdf. Consulté en : octobre 2023.
6 Clinicaltrials.gov. A Study of Niraparib in Combination With Abiraterone Acetate and Prednisone Versus Abiraterone Acetate and Prednisone for the Treatment of Participants With Deleterious Germline or Somatic Homologous Recombination Repair (HRR) Gene-Mutated Metastatic Castration Sensitive Prostate Cancer (mCSPC) (AMPLITUDE). Disponible sur : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04497844. Dernière consultation : octobre 2023.
7 Johnsonandjohnson.gcs-web.com. Janssen Enters Worldwide Collaboration and License Agreement with TESARO, Inc., for Niraparib in Prostate Cancer. Disponible sur : https://johnsonandjohnson.gcs-web.com/news-releases/news-release-details/janssen-enters-worldwide-collaboration-and-license-agreement. Dernière consultation : octobre 2023.
8Gsk.com. GSK completes acquisition of TESARO, an oncology focused biopharmaceutical company. Disponible sur : https://www.gsk.com/en-gb/media/press-releases/gsk-completes-acquisition-of-tesaro-an-oncology-focused-biopharmaceutical-company/. Dernière consultation : octobre 2023. 
9 European Medicines Agency. Zejula (niraparib) Summary of Product Characteristics. Juin 2023. Disponible sur : Zejula, DCI-niraparib ; (europa.eu). Dernière consultation : octobre 2023.
10 Urology Care Foundation. Metastatic Castration-Resistant Prostate Cancer (mCRPC): What You Should Know. Disponible sur : http://www.urologyhealth.org%2Fdocuments%2FProduct-Store%2FEnglish%2FmCRPC-What-You-Should-Know-Fact-Sheet.pdf&usg=AOvVaw0aOSEVXoY5TyJYsTnZwku8. Dernière consultation : octobre 2023.
11 Gandaglia G, et al. Distribution of metastatic sites in patients with prostate cancer: A population-based analysis. Prostate. 2014;74(2):210-216. doi :10.1002/pros.22742.
12 Merseburger AS, et al. Perspectives on treatment of metastatic castration-resistant prostate cancer. Oncologist. 2013;18(5):558-567.
13 World Health Organization« Globocan 2012: Prostate Cancer: Incidence, Mortality and Prevalence Worldwide, 2012. » Disponible sur : http://gco.iarc.fr/today/data/pdf/fact-sheets/cancers/cancer-fact-sheets-19.pdf. Dernière consultation : octobre 2023.
14 Castro E, et al. PROREPAIR-B: A Prospective Cohort Study of the Impact of Germline DNA Repair Mutations on the Outcomes of Patients With Metastatic Castration-Resistant Prostate Cancer. J Clin Oncol. 2019;37(6):490-503.
15 Cavanagh H, & Rogers KM. The role of BRCA1 and BRCA2 mutations in prostate, pancreatic and stomach cancers. Hereditary cancer in clinical practice. 2015;13(1):16. https://doi.org/10.1186/s13053-015-0038-x
16 Messina C. et al. BRCA Mutations in Prostate Cancer: Prognostic and Predictive Implications. Journal of Oncology. 2020. 4986365.
17 Na R, et al. Germline Mutations in ATM and BRCA1/2 Distinguish Risk for Lethal and Indolent Prostate Cancer and are Associated with Early Age at Death. European Urology. 2017;71(5):740-747.
18 European Medicines Agency. Zytiga (abiraterone acetate) Summary of Product Characteristics. juin 2022. Disponible sur : Zytiga, DCI-acétate d’abiratérone (europa.eu). Dernière consultation : octobre 2023.

CP-417605

Octobre 2023

 

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