RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec le lazertinib démontre une survie sans progression plus longue par rapport à l’osimertinib dans le traitement de première ligne chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules muté par l’EGFR à haut risque


Le schéma thérapeutique expérimental sans chimiothérapie associant amivantamab et lazertinib répond à un besoin non satisfait important, car la plupart des patients atteints d’un CPNPC muté par l’EGFR présentent une maladie à haut risque1

Des données majeures issues de l’étude MARIPOSA de phase 3 présentées lors d’une présentation orale à l’ASCO1 

BEERSE, BELGIQUE, 05 juin 2024 (GLOBE NEWSWIRE) --  Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé ce jour disposer de nouvelles données issues de l’étude MARIPOSA de phase 3, démontrant l’efficacité du traitement de première ligne par RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec le lazertinib chez les patients présentant une maladie ou des caractéristiques cliniques à haut risque, soit chez près de 85 pour cent des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avec mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR).1,2 Les résultats de la nouvelle analyse montrent que l’association avec l’amivantamab a amélioré de manière systématique et significative la survie sans progression (SSP) par rapport à l’osimertinib chez les patients atteints de CPNPC avec délétion de l’exon 19 de l’EGFR (ex19del) ou mutations L858R.1 Ces données ont été présentées lors du congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) 2024 (résumé n° 8504) qui a lieu à Chicago, Illinois, du 31 mai au 4 juin 2024.1

« Ces nouvelles données démontrent l’efficacité de l’association amivantamab et lazertinib, et indiquent une réduction significative du risque de progression de la maladie ou de décès par rapport à l’osimertinib dans plusieurs sous-groupes de patients à haut risque atteints d’un CPNPC muté par l’EGFR, » déclare Byoung Chul Cho, M.D., Ph.D, docteur en médecine, titulaire d’un doctorat, oncologue médical et professeur au département d’oncologie médicale du Yonsei Cancer Center, au Yonsei University College of Medicine de Séoul, Corée du Sud, et auteur de l’étude.* « Ces résultats viennent étayer le potentiel de cette association en tant qu’option de première ligne de choix pour ces patients confrontés à d’importants besoins non satisfaits. »

L’étude MARIPOSA a inclus des patients naïfs de traitement atteints de CPNPC avancé muté par l’EGFR (ex19del ou L858R).1 Globalement, les résultats ont indiqué que l’association amivantamab et lazertinib conduisait à une réduction significative du risque de progression de la maladie ou de décès par rapport à l’osimertinib, comme indiqué précédemment.1 Les caractéristiques à haut risque, comme la présence de métastases hépatiques ou cérébrales, les co-mutations de TP53 à la référence et la libération d’ADN tumoral circulant (ADNtc) sont courantes chez les patients atteints d’un CPNPC avancé muté par l’EGFR, et associées à des pronostics défavorable.3,4,5,6 Dans le cadre de l’étude, 89 pour cent des patients inclus présentaient une ou plusieurs de ces maladies ou caractéristiques cliniques à haut risque à la référence. Plus particulièrement, 41 pour cent présentaient des métastases cérébrales, 16 pour cent présentaient des métastases hépatiques, 54 pour cent présentaient des co-mutations de TP53, 70 pour cent présentaient de l’ADNtc à la référence et 15 pour cent ont continué à libérer de l’ADNtc après deux cycles de traitement.1

Les résultats de l’analyse ont démontré que le traitement par l’association amivantamab et lazertinib réduisait de manière significative et systématique le risque de progression de la maladie ou de décès dans tous les sous-groupes à haut risque:1

  • 31 pour cent par rapport à l’osimertinib chez les patients qui présentaient des antécédents de métastases cérébrales (18,3 mois versus 13,0 mois ; risque relatif [RR], 0,69 ; [intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 0,53-0,92] ; P = 0,010)
  • 42 pour cent par rapport à l’osimertinib chez les patients qui présentaient des métastases hépatiques à la référence (18,2 mois versus 11,0 mois ; RR, 0,58 [IC à 95 pour cent, 0,37-0,91] ; P = 0,017)
  • 35 pour cent par rapport à l’osimertinib chez les patients présentant des co-mutations de TP53 (18,2 mois versus 12,9 mois ; RR, 0,65 [IC à 95 pour cent, 0,48-0,87] ; P = 0,003)
  • 32 pour cent par rapport à l’osimertinib chez les patients présentant un ADNtc détectable à la référence (20,3 mois versus 14,8 mois ; RR, 0,68 [IC à 95 pour cent, 0,53-0,86] ; P = 0,002)
  • 51 pour cent par rapport à l’osimertinib chez les patients sans ADNtc résiduel libéré à J1C3 (16,5 mois versus 9,1 mois ; RR, 0,49 [IC à 95 pour cent, 0,27-0,87] ; P = 0,015)

« Les caractéristiques à haut risque sont particulièrement répandues dans le cancer du poumon non à petites cellules muté par l’EGFR en première ligne, et sont associées à un pronostic défavorable, » déclare Henar Hevia, Ph.D, titulaire d’un doctorat, directrice principale, responsable du domaine thérapeutique de l’oncologie pour la région EMEA chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Les résultats issus de cette étude, qui démontrent une amélioration de la survie sans progression dans ce sous-groupe de patients majeur traité par amivantamab et lazertinib, sont particulièrement encourageants. Ils soulignent également notre détermination à nous positionner en tant que pionniers dans la médecine de précision et à établir de nouvelles normes de soins auprès de l’une des populations de patients atteints d’un cancer du poumon les plus importantes. »

Comme cela a été annoncé lors du congrès de l’European Society for Medical Oncology (ESMO) 2023, le profil d’innocuité de l’association amivantamab et lazertinib correspondait aux profils d’innocuité des traitements individuels, et était principalement associé à des effets indésirables (EI) de grade 1 ou 2.7 La toxicité était tout à fait gérable par des interruptions et réductions de dose, ainsi que des mesures de soins de soutien couramment utilisées dans le traitement des patients atteints d’un CPNPC.7 Les EI de grade 3 ou de grade supérieur liés au traitement les plus courants étaient les éruptions cutanées et la paronychie.7 L’association amivantamab plus lazertinib était associée à des taux plus élevés d’EI liés à l’EGFR et à MET (hypoalbuminémie et œdème périphérique) et de thromboembolie veineuse par rapport à l’osimertinib, avec des taux de diarrhée observés plus élevés avec l’osimert nib.7 Le taux d’arrêt de tous les traitements à l’étude en raison d’EI liés au traitement était de 10 pour cent pour l’association amivantamab plus azertinib.7 Le taux de pneumopathie interstitielle (y compris la pneumopathie) était inférieur à 3 pour cent dans les deux bras.7

« Comme la majorité des patients atteints d’un cancer du poumon muté par l’EGFR présentent une maladie et des caractéristiques cliniques à haut risque, il est essentiel de garantir que chacun reçoive le traitement le plus adapté dès la première ligne. Les résultats présentés à l’ASCO suggèrent que l’amivantamab et le lazertinib pourraient constituer une nouvelle norme de soins auprès de cette population de patients, » annonce Craig Tendler, M.D., docteur en médecine, vice-président du développement de phase ultérieure et des affaires médicales mondiales chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces nouveaux résultats démontrent encore davantage le potentiel révolutionnaire des schémas thérapeutiques à base d’amivantamab dans le traitement des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules muté par l’EGFR, et viennent s’ajouter à la liste déjà longue de données étayant la promesse que pourrait représenter cette approche sans chimiothérapie. »

#FIN#

À propos de l’étude MARIPOSA
L’étude MARIPOSA (NCT04487080), qui a inclus 1 074 patients, est une étude randomisée de phase 3 évaluant l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib et au lazertinib en monothérapie dans le traitement de première intention des patients atteints de CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations ex19del de l’EGFR ou de substitution de L858R.7,8 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la SSP (selon les critères RECIST v1.1) évaluée par un comité indépendant de relecture centralisée8. Les critères d’évaluation secondaires comprennent la survie globale (SG), le taux de réponse global (TRG), la durée de réponse (DR), la deuxième survie sans progression (SSP2) et la SSP intracrânienne.8

À propos d’amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique entièrement humain dirigé contre l’EGFR et MET, présentant une activité immunitaire à médiation cellulaire ciblant les tumeurs présentant des mutations activatrices et de résistance de l’EGFR, et des mutations et amplifications de MET.9,10,11,12

La Commission européenne a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour l’amivantamab en décembre 2021 dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices d’insertion de l’exon 20 du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) après échec d’un traitement à base de platine.13 L’amivantamab est le premier traitement approuvé dans l’Espace économique européen ciblant spécifiquement les mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR dans le CPNPC.13 En février 2024, une demande d’extension pour une indication de type II a été soumise à l’Agence européenne des médicaments (EMA) sur la base de l’étude MARIPOSA portant sur l’amivantamab en association avec le lazertinib, dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé avec délétions de l’exon 19 (ex19del) ou mutations de substitution de l’exon 21 (L858R) du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR).14 Une demande d’extension pour une indication de type II visant à obtenir l’approbation de l’amivantamab en association avec une chimiothérapie (carboplatine et pémétrexed) dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de substitution ex19del ou L858R de l’EGFR, après échec d’un traitement antérieur, notamment par un ITK associé à l’EGFR de troisième génération a également été soumise à l’EMA en novembre 2023.15

En avril 2024, le Comité des médicaments à usage humain (CMUH) a émis un avis favorable pour l’utilisation de l’amivantamab en association avec une chimiothérapie par carboplatine et pémétrexed, dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR.16

En plus de l’étude MARIPOSA, l’amivantamab fait l’objet de plusieurs études cliniques portant sur le CPNPC, notamment :

  • L’étude PAPILLON de phase 3 (NCT04538664) évaluant l’amivantamab en association avec le carboplatine-pémétrexed par rapport à la chimiothérapie seule dans le traitement de première ligne des patients atteints de CPNPC avancé ou métastatique et présentant des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR.17
  • L’étude MARIPOSA-2 de phase 3 (NCT04988295) visant à évaluer l’efficacité de l’association de l’amivantamab (avec ou sans lazertinib) avec le carboplatine-pémétrexed par rapport au carboplatine-pémétrexed seul, chez les patients atteints de CPNPC avec des mutations du R-EGF, soit une délétion de l’exon 19 (ex19del), soit une mutation L858R, localement avancé ou métastatique, et qui présentent une progression de la maladie pendant ou après un traitement par osimertinib.18
  • L’étude CHRYSALIS de phase 1 (NCT02609776) évaluant l’amivantamab chez des patients atteints de CPNPC avancé.19
  • L’étude CHRYSALIS-2 de phase 1/1b (NCT04077463) évaluant l’amivantamab en association avec le lazertinib et le lazertinib en monothérapie chez des patients atteints de CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR.20
  • L’étude PALOMA de phase 1 (NCT04606381) évaluant la faisabilité de l’administration sous-cutanée de l’amivantamab sur la base de la tolérance et de la pharmacocinétique et visant à déterminer une dose, un schéma posologique et une formulation pour l’administration sous-cutanée de l’amivantamab.21
  • L’étude de phase 2 PALOMA-2 (NCT05498428) évaluant l’amivantamab sous-cutané chez des patients atteints de tumeurs solides avancées ou métastatiques, y compris le CPNPC muté par l’EGFR.22
  • L’étude PALOMA-3 de phase 3 (NCT05388669) évaluant le lazertinib associé à l’amivantamab par voie sous-cutanée par rapport à l’amivantamab par voie intraveineuse chez des patients atteints d’un CPNPC avancé ou métastatique muté par l’EGFR.23
  • L’étude METalmark de phase 1/2 (NCT05488314) évaluant l’amivantamab et le capmatinib en association dans le CPNPC localement avancé ou métastatique.24
  • L’étude PolyDamas de phase 1/2 (NCT05908734) évaluant l’amivantamab et le cétrélimab en association dans le CPNPC localement avancé ou métastatique.25
  • L’étude SKIPPirr de phase 2 (NCT05663866) explore les moyens de réduire l’incidence et/ou la sévérité des réactions liées à la perfusion de la première dose d’amivantamab en association avec le lazertinib dans le CPNPC avancé ou métastatique muté par l’EGFR en rechute ou réfractaire.26

Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.13

▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.

À propos du cancer du poumon non à petites cellules

En Europe, on estime que 484 306 personnes ont reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2022.27 Parmi tous les cas de cancer du poumon, le CPNPC représente 85 pour cent.28 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, avec plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate combinés.27

Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.28 Parmi les mutations conductrices les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, qui est un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.28,29 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints de CPNPC avec une histologie d’adénocarcinome, et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.30,31,32,33 Les mutations ex19del de l’EGFR ou L858R de l’EGFR sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.34 Le taux de survie à cinq ans pour toutes les personnes atteintes de CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR et traitées par des inhibiteurs de la tyrosine kinase (ITK) de l’EGFR est inférieur à 20 pour cent.35,36 Les mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR constituent la troisième mutation de l’EGFR activatrice la plus répandue.37 Les patients présentant des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR ont une survie globale (SG) à cinq ans en conditions réelles de 8 pour cent en première ligne, ce qui est moins bon que les patients présentant des mutations ex19del ou L858R de l’EGFR, dont la SG à cinq ans en conditions réelles est de 19 pour cent.38 De plus, il a été démontré qu’environ 50 pour cent des patients atteints d’un CPNPC présenteront des métastases cérébrales, qui contribuent grandement à la mortalité globale liée au cancer.3,39,40

Pour en savoir plus, consultez notre site Internet à l’adresse suivante : www.janssen.com/emea. Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea. Janssen-Cilag International NV est une société Johnson & Johnson. 

Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant le développement des produits et les bénéfices potentiels ainsi que l’impact du traitement par amivantamab et lazertinib. Le lecteur est invité à ne pas se fier à ces déclarations prospectives. Ces déclarations sont basées sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avéraient inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus se matérialisaient, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen-Cilag International NV et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes incluent, sans s’y limiter : les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des approbations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, y compris les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents ; les contestations de brevets ; les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les changements de comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé ; les modifications des lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent être trouvées dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse : www.sec.govwww.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés pharmaceutiques Janssen-Cilag International NV, ou Johnson & Johnson n’ont l’obligation de mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs. 

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*Le Prof. Byoung Chul Cho a fourni des services de consultation, de conseil et de porte-parole à Janssen-Cilag International NV ; il n’a reçu aucune rémunération pour des travaux en lien avec les médias.


1 Felip E, et al. Amivantamab plus lazertinib vs osimertinib in first-line EGFR-mutant advanced non-small cell lung cancer (NSCLC) with biomarkers of high-risk disease: A secondary analysis from the phase 3 MARIPOSA study. Réunion annuelle de l’American Society for Clinical Oncology (2024). 31 mai 2024.

2 Felip E, et al. Amivantamab plus lazertinib vs osimertinib in first-line EGFR-mutant advanced non-small cell lung cancer (NSCLC) with biomarkers of high-risk disease: A secondary analysis from the phase 3 MARIPOSA study. Résumé. Réunion annuelle de l’American Society for Clinical Oncology (2024). 31 mai 2024.

3 Shao J et al. The number of brain metastases predicts the survival of non-small cell lung cancer patients with EGFR mutation status. Cancer Rep (Hoboken). Septembre 2022;5(9):e1550.

4 Stockhammer P, et al. Co-Occurring Alterations in Multiple Tumor Suppressor Genes Are Associated With Worse Outcomes in Patients With EGFR-Mutant Lung Cancer. J Thorac Oncol. Février 2024;19(2):240-251.

5 Chen Y, et al. Analysis of metastases in non-small cell lung cancer patients with epidermal growth factor receptor mutation. Ann Transl Med. Février 2021;9(3):206.

6 Russo A, et al. Influence of EGFR mutational status on metastatic behavior in non squamous non small cell lung cancer. Oncotarget. 31 janvier 2017;8(5):8717-8725. 

7 Cho BC, et al. Amivantamab Plus Lazertinib vs Osimertinib as First-line Treatment in Patients With EGFR-mutated, Advanced Non-small Cell Lung Cancer (NSCLC): Primary Results From MARIPOSA, a Phase 3, Global, Randomized, Controlled Trial. Congrès de l’European Society for Medical Oncology 2023. 23 octobre 2023.

8 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib Combination Therapy Versus Osimertinib in Locally
Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer (MARIPOSA). Disponible à l’adresse : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04487080. Consulté en mai 2024.

Grugan, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. MAbs. 2017;9(1):114-126.

10 Yun, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov. 2020;10(8):1194-1209.

11 Vijayaraghavan, et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther.2020;19(10):2044-2056.

12 Moores, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res. 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.

13 Agence européenne des médicaments. Résumé des caractéristiques du produit de l’amivantamab. Janvier 2023. Disponible à l’adresse : Rybrevant, DCI-amivantamab (europa.eu). Consulté en mai 2024.

14 Janssen.com/EMEA. Janssen Submits Type II Extension of Indication Application to the European Medicines Agency Seeking Approval of RYBREVANT®▼ (amivantamab), in combination with Lazertinib, for First-Line Treatment of Patients with EGFR-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/amivantamab_mariposa_ema_filing_release_2024_2.pdf. Consulté en mai 2024.

15 Janssen EMEA. Janssen Submits Application to the European Medicines Agency for RYBREVANT®▼ (amivantamab) in Combination with Chemotherapy for the Treatment of Adult Patients with Advanced EGFR-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer After Failure of Prior Therapy . Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/janssen_mariposa-2_filing_press_release_2023.pdf. Consulté en mai 2024.

16 Janssen.com/EMEA. Johnson & Johnson receives positive CHMP opinion for RYBREVANT®▼ (amivantamab) in combination with chemotherapy for the first-line treatment of patients with advanced non-small cell lung cancer with activating EGFR exon 20 insertion mutations. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/papillon_chmp_press_release_2024.pdf. Consulté en mai 2024.

17 ClinicalTrials.gov. A Study of Combination Amivantamab and Carboplatin-Pemetrexed Therapy, Compared With Carboplatin-Pemetrexed, in Participants With Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer Characterized by Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR) Exon 20 Insertions (PAPILLON). Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04538664. Consulté en mai 2024.

18 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib in Combination With Platinum-Based Chemotherapy Compared With Platinum-Based Chemotherapy in Patients With Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Locally Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer After Osimertinib Failure (MARIPOSA-2). Disponible à l’adresse : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/study/NCT04988295. Consulté en mai 2024.

19 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab, a Human Bispecific EGFR and cMet Antibody, in Participants With Advanced Non-Small Cell Lung Cancer (CHRYSALIS). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02609776. Consulté en mai 2024.

20 ClinicalTrials.gov. A Study of Lazertinib as Monotherapy or in Combination With Amivantamab in Participants With Advanced Non-small Cell Lung Cancer (CHRYSALIS-2). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04077463. Consulté en mai 2024.

21 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab Subcutaneous (SC) Administration for the Treatment of Advanced Solid Malignancies (PALOMA). Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/study/NCT04606381. Consulté en mai 2024.

22 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab in Participants With Advanced or Metastatic Solid Tumors Including Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer (PALOMA-2). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05498428. Consulté en mai 2024.

23 ClinicalTrials.gov. A Study of Lazertinib With Subcutaneous Amivantamab Compared With Intravenous Amivantamab in Participants With Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Advanced or Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (PALOMA-3). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05388669. Consulté en mai 2024.

24 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Capmatinib Combination Therapy in Unresectable Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (METalmark). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05488314. Consulté en mai 2024.

25 ClinicalTrials.gov. A Study of Combination Therapy With Amivantamab and Cetrelimab in Participants With Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (PolyDamas). https://www.clinicaltrials.gov/study/NCT05908734?term=polydamas&rank=1. Consulté en mai 2024.

26 ClinicalTrials.gov. Premedication to Reduce Amivantamab Associated Infusion Related Reactions (SKIPPirr). https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05663866. Consulté en mai 2024.

27 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.fr/en. Consulté en mai 2024.

28 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res 2016;5(3):288–300.

29 Wee, P & Wang, Z. Cancers 2017. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways
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33 Midha A, et al. EGFR mutation incidence in non-small-cell lung cancer of adenocarcinoma histology: a systematic review and global map by ethnicity. Am J Cancer Res. 2015;5(9):2892-2911.

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CP-455161
Mai 2024

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