RYBREVANT®▼ (amivantamab) associé à une chimiothérapie montre une tendance de survie globale positive par rapport à la chimiothérapie chez les patients atteints d'un cancer du poumon muté par EGFR préalablement traité


Les résultats suite à la progression ont mis en évidence une amélioration significative et durable pour l'amivantamab plus chimiothérapie par rapport à la chimiothérapie seule1

BEERSE, BELGIQUE, 16 sept. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé ce jour les résultats mis à jour de l'étude la Phase 3 MARIPOSA-2, démontrant que RYBREVANT® ▼ (amivantamab) associé à une chimiothérapie a entraîné un bénéfice constant en matière de résultats suite à la progression chez les patients adultes atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) préalablement traité et présentant des mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) de type délétions de l'exon 19 (ex19del) ou substitution L858R.1 Les données révèlent également une tendance favorable vers une amélioration de la survie globale (SG) par rapport à la chimiothérapie seule.1 Les résultats ont été présentés lors du Congrès 2024 de l'European Society of Medical Oncology (ESMO), qui se déroule à Barcelone, Espagne, du 13 au 17 septembre.1

« La tendance positive en matière de survie globale observée dans l'étude MARIPOSA-2 suggère que l'amivantamab en association avec une chimiothérapie pourrait potentiellement révolutionner le paysage thérapeutique pour une population historiquement considérée comme disposant d'options limitées », a déclaré le professeur Sanjay Popat, Ph.D., Membre du Royal College of Physicians, Titulaire d'un doctorat, Oncologue Médical au Royal Marsden Hospital et à l'Institute of Cancer Research au Royaume-Uni, et auteur-présentateur*. « En nous appuyant sur les données solides en matière de survie sans progression précédemment rapportées dans cette étude, et en permettant à davantage de patients de recevoir un traitement plus longtemps, nous augmentons leurs chances d’obtenir de meilleurs résultats. »

Au moment de la deuxième analyse intermédiaire, avec un suivi médian de 18,1 mois, 50 pour cent des patients traités par amivantamab plus chimiothérapie étaient encore en vie à 18 mois, par rapport à 40 pour cent pour les patients ayant reçu une chimiothérapie seule (SG médiane, respectivement 17,7 contre 15,3 mois ; rapport de risque [RR] : 0,73 ; [intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 0,54 - 0,99] ; valeur P nominale = 0,039**).1 L'association amivantamab plus chimiothérapie a entraîné une amélioration significative des taux d'arrêt du traitement, avec près de cinq fois plus de patients toujours sous traitement à 18 mois (22 pour cent) par rapport à la chimiothérapie (4 pour cent) (temps jusqu'à l'arrêt du traitement [TJAT] médian, respectivement 10,4 contre 4,5 mois) [IC à 95 pour cent, 0,33 à 0,53] ; valeur P nominale <0,0001**.1 De plus, on a observé chez les patients traités par amivantamab plus chimiothérapie une réduction de 27 pour cent du risque de progression symptomatique (temps jusqu'à la progression symptomatique [TJPS] médian, 16,0 contre 11,8 mois ; RR, 0,73 ; [IC à 95 pour cent : 0,55 - 0,96] ; valeur P nominale = 0,026**).1 Le temps avant le traitement ultérieur était significativement plus long avec l'association amivantamab plus chimiothérapie par rapport à la chimiothérapie seule (temps avant le traitement ultérieur [TATU], respectivement 12,2 contre 6,6 mois ; RR, 0,51 ; [IC à 95 pour cent, 0,39–0,65] ; valeur P nominale <0,0001**), et une réduction du risque de seconde progression de la maladie ou de décès de 36 pour cent (survie sans progression 2 [SSP2] médiane, respectivement 16,0 contre 11,6 mois ; RR, 0,64 ; [IC à 95 pour cent : 0,48 - 0,85] ; valeur P nominale = 0,002**) a également été observée.1

« Malgré le défi que représentent les divers mécanismes de résistance dans le cancer du poumon non à petites cellules muté par EGFR, les données issues de l'étude MARIPOSA-2 démontrent que l'association de l'amivantamab à la chimiothérapie prolonge considérablement la survie sans progression après un traitement ultérieur, et montrent le potentiel d'amélioration de la survie globale par rapport à la chimiothérapie seule », a déclaré Henar Hevia, Titulaire d'un doctorat, Directrice Principale, Responsable du Domaine Thérapeutique de l'Oncologie pour la région EMEA, chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces résultats renforcent notre engagement à faire progresser la médecine de précision, en proposant de nouveaux mécanismes d'action et, à terme, des options thérapeutiques plus durables afin d'améliorer les résultats pour les patients en demande d'un nouvel espoir. »

Dans l'analyse principale de l'étude MARIPOSA-2, présentée lors du congrès 2023 de l'European Society for Medical Oncology (ESMO), des effets indésirables (EI) de grade 3 ou plus, principalement dus à des toxicités hématologiques, ont été signalés chez 72 pour cent des patients traités par amivantamab plus chimiothérapie, et chez 48 pour cent de ceux traités par chimiothérapie seule.2 Les EI de grade 3 ou plus les plus courants comprenaient la neutropénie, la thrombocytopénie, l'anémie et la leucopénie.2 Des événements hémorragiques de grade 3 ou 4 ont été observés chez 1 pour cent des patients traités par amivantamab plus chimiothérapie, et chez aucun patient traité par chimiothérapie seule.2 Des EI apparus pendant le traitement (EIAPT) graves ont été observés chez 32 pour cent des patients traités par amivantamab plus chimiothérapie, et chez 20 pour cent des patients traités par chimiothérapie seule.2 Les EIAPT graves les plus courants étaient la thrombocytopénie, la neutropénie et la neutropénie fébrile.2 Des réactions liées à la perfusion sont survenues chez 58 pour cent (tous grades confondus) des patients sous aminovantamab plus chimiothérapie.2 Les EI liés au traitement entraînant la mort étaient peu fréquents dans tous les bras (respectivement 2 pour cent contre 0,4 pour cent dans les bras amivantamab plus chimiothérapie et chimiothérapie seule).2 L'arrêt définitif de tous les agents expérimentaux dans le bras amivantamab plus chimiothérapie en raison d'effets indésirables est survenu chez 11 patients (8 pour cent).2

« Nous sommes heureux de constater que l'association amivantamab plus chimiothérapie continue de démontrer des résultats de survie améliorés après un an et demi de suivi, et qu'elle constitue un réel avantage pour les patients qui disposent de peu d'autres options », a déclaré Joshua Bauml, Docteur en médecine, Vice-Président, Leader du Bastion des Pathologies Spécialisé dans le Cancer du Poumon, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces résultats soulignent le potentiel de ce schéma thérapeutique en association à marquer une différence significative pour les patients. Nous prévoyons que l'amélioration va se poursuivre à mesure que nous vers l’analyse finale. »

L'association amivantamab plus chimiothérapie a reçu l'autorisation de la Commission européenne en août 2024 pour le traitement des adultes atteints d'un CPNPC avancé présentant des mutations de l'EGFR ex19del ou L858R, après échec d'un traitement antérieur comprenant un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de l'EGFR, sur la base des données de l'étude MARIPOSA-2.3

À propos de MARIPOSA-2
MARIPOSA-2 (NCT04988295), dans laquelle 657 patients ont été inclus, est une étude la Phase 3 ouverte randomisée évaluant l’efficacité et l’innocuité de deux schémas d’association d'amivantamab (avec et sans lazertinib) et de chimiothérapie.2 Les patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutation de l’EGFR de type ex19del ou substitution L858R de l'exon 21, et dont la maladie avait progressé après un traitement par osimertinib ont été randomisés afin de recevoir soit l’amivantamab plus chimiothérapie, soit l’amivantamab plus chimiothérapie avec lazertinib, soit la chimiothérapie seule.2 Les deux critères d’évaluation principaux ont été utilisés pour comparer la survie sans progression (SSP) (selon les critères RECIST v1.1) évaluée par une relecture centralisée pour chaque bras expérimental par rapport à la chimiothérapie seule.2 Les critères d’évaluation secondaires comprenaient la réponse objective évaluée par une relecture centralisée, la survie globale (SG), la durée de réponse (DR), le délai jusqu’au traitement ultérieur, la SSP2 et la SSP intracrânienne.2

Tous les participants à l’étude ont fait l’objet de plusieurs examens d’imagerie cérébrale pour évaluer avec précision les paramètres intracrâniens et l’activité sur le SNC de l’amivantamab et d’un doublet de chimiothérapie à base de platine, avec ou sans lazertinib.2 Dans la mesure où les métastases cérébrales peuvent constituer un fardeau important et entraîner des résultats médiocres pour les patients, cet aspect du plan de l’étude fournit des informations essentielles dans un domaine où les besoins ne sont pas satisfaits.4

À propos de l’amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique anti EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et qui exploite le système immunitaire.5,6,7,8

La Commission européenne (CE) a accordé une autorisation de mise sur le marché pour l’amivantamab selon les indications suivantes :9

  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR
  • En monothérapie, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine
  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec délétions de l’exon 19 de l’EGFR ou substitutions L858R, après échec d’un traitement antérieur comprenant un ITK de l’EGFR

En février 2024, une demande d’extension d'indication de type II a été soumise à l’Agence européenne des médicaments (EMA) sur la base de l’étude MARIPOSA portant sur l’amivantamab en association avec le lazertinib dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations fréquentes de l’EGFR de type délétion ex19del ou substitution L858R.10 En mai 2024, une demande d’extension de l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab a été déposée en vue d’obtenir l’autorisation d’utiliser une formulation sous-cutanée (SC) de l’amivantamab en association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations ex19del ou L858R de l’EGFR, et pour l’utilisation de l’amivantamab SC en monothérapie chez les patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations d’insertion activatrices de l’exon 20 de l’EGFR après échec d’un traitement à base de platine.11

Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.9

▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.    

À propos du lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement du lazertinib. Le lazertinib est un ITK de l'EGFR de troisième génération administré par voie orale pénétrant dans le cerveau qui cible à la fois la mutation T790M et l'activation des mutations EGFR tout en épargnant l'EGFR de type sauvage.12 Une analyse de l'efficacité et de l'innocuité du lazertinib issue de l'étude la Phase 3 LASER301 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.12 En décembre 2023, une demande d'autorisation de mise sur le marché (AMM) a été soumise auprès de l'EMA visant à obtenir l'approbation du lazertinib en association avec l'amivantamab, pour le traitement de première ligne des patients adultes atteints d'un CPNPC avancé présentant des mutations courantes de l'EGFR, notamment des délétions de l'exon 19 ou des mutations de substitution L858R.13

À propos du cancer du poumon non à petites cellules
On estime qu’en Europe, un cancer du poumon a été diagnostiqué chez 484 306 personnes en 2022.14 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.15 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, responsable de plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.14

Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.15 Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.15,16 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec une histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.17,18,19,20 Les mutations ex19del de l’EGFR ou L858R de l’EGFR sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.21 Le taux de survie à cinq ans pour tous les patients atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR et traités par des inhibiteurs de la tyrosine kinase (ITK) de l’EGFR est inférieur à 20 pour cent.22

À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous donnons la priorité à la santé. Notre force d’innovation en matière de soins de santé nous permet de construire un monde où les maladies complexes sont prévenues, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise dans le domaine de la médecine innovante et des technologies médicales, nous sommes les plus à même d’apporter des innovations à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui pour faire advenir les avancées de demain et avoir un impact majeur sur la santé de l’humanité.
  
Pour en savoir plus à www.janssen.com/EMEA. Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea Janssen Research & Development, LLC, Janssen-Cilag, S.A., Janssen Biotech, Inc. et Janssen-Cilag International NV sont des sociétés Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant le développement des produits et les bénéfices potentiels ainsi que l’impact du traitement par amivantamab. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou des incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. and Janssen-Cilag International NV, et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes incluent, de manière non exhaustive, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, les difficultés et retards de fabrication, la concurrence, y compris les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires, les changements de comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les modifications des lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. et Janssen-Cilag International NV, ni Johnson & Johnson ne s'engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d'événements ou développements futurs.  

© Janssen-Cilag International NV, Inc. 2024. Tous droits réservés.    

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*Le professeur Sanjay Popat a fourni des services de consultation, de conseil et de porte-parole à Johnson & Johnson ; il n’a reçu aucune rémunération pour des travaux en lien avec les médias.

**La valeur P provient d'un test de log-rank stratifié par ligne de traitement par l'osimertinib (première ligne versus deuxième ligne), antécédents de métastases cérébrales (oui ou non) et origine ethnique asiatique (oui ou non). La SG a été évaluée avec un alpha bilatéral de 0,0142.

 RECIST (version 1.1) fait référence aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, qui constituent un moyen standard de mesurer la réponse des tumeurs solides au traitement et se fondent sur le fait que les tumeurs rétrécissent, restent les mêmes ou grossissent.

1 Popat, et al. Overall Survival Among Patients Receiving Amivantamab Plus Chemotherapy vs Chemotherapy in EGFR-mutated, Advanced Non-small Cell Lung Cancer After Disease Progression on Osimertinib (MARIPOSA-2). Congrès de l’European Society for Medical Oncology 2024. 14 septembre 2024.
2 Passaro A, et al. Amivantamab plus chemotherapy with and without lazertinib in EGFR-mutant advanced NSCLC after disease progression on osimertinib: primary results from the phase III MARIPOSA-2 study. Annals of Oncology 2024;35(1):77-90.
3 Janssen.com/EMEA. La Commission européenne approuve RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec une chimiothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avancé et porteurs d’une mutation de l’EGFR, après échec d’un traitement antérieur. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/jj_emea_mariposa-2_ec_press_release_2024.pdf. Consulté en septembre 2024.
4 Fuchs J, et al. Resection of isolated brain metastases in non-small cell lung cancer (NSCLC) patients – evaluation of outcome and prognostic factors: A retrospective multicenter study. PLoS ONE 16(6):e0253601. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0253601.
5 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. MAbs 2017;9(1):114-126.
6 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.
7 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov 2020;10(8):1194-1209.
8 Vijayaraghavan S, et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther 2020;19(10):2044-2056.
9 Agence européenne des médicaments. Résumé des caractéristiques du produit de l’amivantamab. Août 2024. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Consulté en septembre 2024.
10 Janssen.com/EMEA. Janssen Submits Type II Extension of Indication Application to the European Medicines Agency Seeking Approval of RYBREVANT®▼ (amivantamab), in combination with Lazertinib, for the First-Line Treatment of Patients with EGFR Mutated Non-Small Cell Lung Cancer. https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/amivantamab_mariposa_ema_filing_release_2024_2.pdf Consulté en : septembre.
11 Janssen.com/EMEA. Johnson & Johnson submits application to the European Medicines Agency seeking approval of subcutaneous formulation of RYBREVANT®▼ (amivantamab) for the treatment of patients with EGFR-mutated non-small cell lung cancer. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/sites/www_janssen_com_emea/files/jj_asco_paloma-3_-_ema_filing_press_release.pdf. Consulté en : septembre 2024.
12 Cho, BC, et al. Lazertinib versus gefitinib as first-line treatment in patients with EGFR-mutated advanced nonsmall-cell lung cancer: Results From LASER301. J Clin Oncol. 2023;41(26):4208-4217.
13 Janssen.com/EMEA. Janssen Submits Marketing Authorisation Application to the European Medicines
Agency Seeking Approval of Lazertinib, in combination with RYBREVANT®
(amivantamab), for the First-Line Treatment of Patients with EGFR-Mutated NonSmall Cell Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/lazertinib_ema_filing_press_release_december_2023.pdf. Consulté en : septembre 2024.
14 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/populations/908-europe-fact-sheet.pdf.  Consulté en : septembre 2024.
15 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res 2016;5(3):288–300.
16 Wee P & Wang Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers 2017;9(12):52.
17 Pennell NA, et al. A phase II trial of adjuvant erlotinib in patients with resected epidermal growth factor receptor-mutant non-small cell lung cancer. J Clin Oncol 2019;37(2):97-104.
18 Burnett H, et al. Epidemiological and clinical burden of EGFR exon 20 insertion in advanced non-small cell lung cancer: a systematic literature review. Extrait présenté à l’occasion de la Réunion annuelle de la Conférence mondiale sur le cancer du poumon (Singapour) ; 29 janvier 2021.
19 Zhang YL, et al. The prevalence of EGFR mutation in patients with non-small cell lung cancer: a systematic review and meta-analysis. Oncotarget. 2016;7(48):78985-78993.
20 Midha A, et al. EGFR mutation incidence in non-small-cell lung cancer of adenocarcinoma histology: a systematic review and global map by ethnicity. Am J Cancer Res 2015;5(9):2892-2911.
21 American Lung Association. EGFR and Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.lung.org/lung-health-diseases/lung-disease-lookup/lung-cancer/symptoms-diagnosis/biomarker-testing/egfr. Consulté en : septembre 2024.
22 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol 2016;11(4):556-65.

CP-474253
Septembre 2024

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