La Commission Européenne approuve BALVERSA®▼ (erdafitinib) chez les patients adultes atteints d’un carcinome urothélial non résécable ou métastatique


Premier paninhibiteur de kinase des FGFR à être approuvé dans l’Espace Économique Européen, pour les adultes atteints d’un carcinome urothélial non résécable ou métastatique et pouvant présenter des altérations sensibles du FGFR3

Cette approbation s’appuie sur les résultats de l’étude THOR qui indiquent une réduction de 36 pour cent du risque de décès avec l’erdafitinib par rapport à une chimiothérapie1

BEERSE, BELGIQUE, 26 août 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société de Johnson & Johnson, a annoncé aujourd’hui que la Commission Européenne (CE) a approuvé BALVERSA®▼(erdafitinib) en tant que monothérapie orale à prise unique quotidienne pour le traitement des patients adultes atteints d’un carcinome urothélial métastatique (CMU) ou non résécable, présentant des altérations génétiques sensibles du récepteur 3 du facteur de croissance des fibroblastes (FGFR3) et ayant déjà reçu au moins une ligne de traitement contenant un inhibiteur du récepteur 1 de la mort cellulaire programmée (PD-1) ou du ligand 1 de la mort cellulaire programmée (PD-L1) dans le cadre d’un traitement non résécable ou métastatique.2

« Le cancer de la vessie est l’un des cancers les plus courants en Europe et les besoins en options thérapeutiques innovantes pour les personnes atteintes d’un carcinome urothélial non résécable ou métastatique restent élevés », a déclaré Yohann Loriot, M.D., Ph.D., Docteur en Médecine et Chercheur à l’Institut Gustave Roussy et à l’Université Paris-Saclay (France).* « L’erdafitinib est un nouveau traitement ciblé qui a considérablement amélioré la survie globale et sans progression chez les patients présentant des altérations du FGFR3 qui, jusqu’à présent, disposaient d’un nombre limité d’options. »

L’Europe est le continent où le taux de cancer de la vessie est le plus élevé, avec près d’un quart de million de personnes diagnostiquées en 2022 3, ce qui représente une augmentation de 10 pour cent par rapport à 2020. 4 Le carcinome urothélial est la forme la plus courante de cancer de la vessie 5 et jusqu’à 20 pour cent des patients atteints de CMU présentent des altérations des FGFR.6 Le pronostic reste particulièrement défavorable pour les patients atteints de CMU, puisque seulement 8 pour cent des personnes diagnostiquées à un stade métastatique tardif survivent pendant cinq ans.7,8

« Cette avancée majeure souligne le rôle vital des traitements ciblés face aux caractéristiques génétiques et pathologiques uniques des patients atteints de cancer urothélial et renforce notre engagement à faire progresser les traitements de précision de pointe en oncologie », a déclaré Henar Hevia, Ph.D., titulaire d’un doctorat, Directrice Principale, Responsable du Service Thérapeutique de l’Oncologie pour la région EMEA chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « L’approbation de l’erdafitinib en tant que traitement de précision souligne à nouveau l’importance du test des FGFR pour tous les patients atteints du cancer urothélial métastatique, ainsi que la nécessité de recourir à une approche pluridisciplinaire afin d’optimiser les résultats pour chaque patient. »

L’erdafitinib a reçu l’approbation de la CE suite aux résultats obtenus dans la Cohorte 1 de l’étude THOR de la Phase 3 (NCT03390504), évaluant l’efficacité et l’innocuité de l’erdafitinib (n=136) par rapport à la chimiothérapie (n=130) chez les patients atteints d’un cancer avancé ou d’un CMU présentant certaines altérations des FGFR qui ont progressé après un ou deux traitements antérieurs, dont l’un au moins comprend un agent anti-PD-(L)1.1,9

En juin 2023, sur la base des recommandations du comité indépendant de surveillance de la sécurité des données, l’étude THOR a été interrompue à la suite de l’analyse intermédiaire de l’efficacité et tous les patients randomisée pour une chimiothérapie (docétaxel ou vinflunine) ont eu la possibilité de recevoir de l’erdafitinib dans le cadre d'un traitement croisé.1 Les résultats indiquent qu’une survie globale médiane de plus d’un an a été observée chez les patients recevant l’erdafitinib à la date de clôture des données, marquant une amélioration significative par rapport à ceux du groupe recevant une chimiothérapie (12,1 mois contre 7,8 mois ; rapport de risque [HR]=0,64 ; intervalle de confiance à 95 pour cent [CI]**, 0. 44-0,93 ; P=0,0050).2 Le traitement par erdafitinib a également montré une amélioration de la survie sans progression médiane (PFS) par rapport à la chimiothérapie, 5,6 mois contre 2,7 mois (HR=0,58 ; 95 pour cent CI**, 0,41-0,82 ; P=0,0002), et un taux de réponse global (ORR) confirmé de 35,3 pour cent contre 8,5 pour cent.2

Des effets indésirables sévères liés au traitement ont été observés chez 13,3 pour cent des patients ayant reçu de l’erdafitinib et chez 24,1 pour cent des patients randomisée en chimiothérapie.1 Des effets indésirables de Grade 3 ou plus ont été observés chez 45,9 pour cent des patients sous erdafitinib et 46,4 pour cent des patients sous chimiothérapie.1 Parmi les patients ayant reçu de l’erdafitinib, 8,1 pour cent ont présenté des effets indésirables ayant conduit à l’arrêt du traitement, contre 13,4 pour cent des patients ayant reçu une chimiothérapie.1 Des effets indésirables ayant entraîné la mort ont été signalés chez un patient ayant reçu de l’erdafitinib et chez six patients ayant reçu une chimiothérapie.1

« L’approbation de l’erdafitinib par la CE témoigne de notre engagement inébranlable visant à changer la vie des personnes atteintes d’un carcinome urothélial non résécable ou métastatique », a déclaré Kiran Patel, M.D., Docteur en Médecine et Chercheur, Vice-Président, Responsable du Développement Clinique et des Tumeurs Solides chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Nous sommes impatients de poursuivre nos efforts de recherche et de développement afin d’apporter de nouveaux espoirs et une meilleure issue à un plus grand nombre de patients à l’avenir. »

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À propos de l’étude THOR
THOR (NCT03390504) est une étude de la Phase 3 randomisée, ouverte et multicentrique évaluant l’efficacité et l’innocuité de l’erdafitinib. Tous les patients participant à l’étude présentaient un CMU ou non résécable, 9 avec certaines altérations génétiques des FGFR, et leur maladie avait progressé pendant ou après une ou deux lignes de traitement antérieures.9 L’étude compare l’erdafitinib à une chimiothérapie standard (docétaxel ou vinflunine, selon le choix des chercheurs) après au moins une ligne de traitement comprenant un agent anti-PD-(L)1 (Cohorte 1);9 et l’erdafitinib au pembrolizumab après un traitement antérieur ne contenant pas d’agent anti-PD-(L)1 (Cohorte 2).9 L’essai comprend une étape de sélection, une phase de traitement (de la randomisation jusqu’à la progression de la maladie, une toxicité intolérable, le retrait du consentement ou la décision du chercheur d’interrompre le traitement) et un suivi post-traitement (de la fin du traitement jusqu’au décès des participants, au retrait du consentement, à la perte de suivi, à la fin de l’étude pour la cohorte respective, selon la première éventualité qui survient).9 Une période de prolongation à long terme est déjà en place après la date limite clinique de l’analyse finale de chaque cohorte et les patients éligibles continuent de tirer profit de l’étude.9 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la survie globale (SG) et les critères d’évaluation secondaires sont la survie sans progression (SSP), le taux de réponse global (TRG), la durée de la réponse (DR), les résultats rapportés par les patients, l’innocuité et la pharmacocinétique.9

Les résultats de la Cohorte 1 ont été présentés lors de la réunion annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO)1 et les résultats de la Cohorte 2 ont été présentés lors du congrès 2023 de la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO).10

À propos de l’erdafitinib
L’erdafitinib est un inhibiteur de tyrosine kinase du récepteur des facteurs de croissance des fibroblastes (FGFR) approuvé pour le traitement des patients adultes atteints d’un carcinome urothélial (CU) non résécable ou métastatique, présentant des altérations génétiques sensibles du FGFR3 et qui ont déjà reçu au moins une ligne de traitement contenant un inhibiteur de PD-1 ou de PD-L1 dans le cadre d’un traitement non résécable ou métastatique.2,11

L’erdafitinib est également évalué dans l’étude de la Phase 1/BLC1003 (NCT05316155)12 chez des patients atteints d’un cancer de la vessie non invasif sur le plan musculaire ou invasif sur le plan musculaire présentant des altérations sélectionnées des FGFR et est administré via un système de libération ciblé intravésical (TAR-210).12 Par ailleurs, l’étude de la Phase 3 MoonRISe-1 /BLC3004 (NCT06319820) évalue TAR-210 par rapport à une chimiothérapie intravésicale à agent unique chez des participants atteints d’un cancer de la vessie non invasif sur le plan musculaire présentant un risque intermédiaire.13

En complément de l’approbation de la CE, Johnson & Johnson a obtenu en janvier 2024 l’approbation complète de l’erdafitinib par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis dans le cadre d’un traitement chez des patients adultes atteints d’une forme localement avancée ou d’un carcinome urothélial métastatique avec des altérations génétiques sensibles du FGFR3, dont la maladie a progressé après au moins une ligne de traitement systémique antérieure, sur la base de la Cohorte 1 de l’étude de la Phase 3 THOR.14

En 2008, Janssen Pharmaceutica NV a conclu un accord mondial exclusif prévoyant un octroi de licence et une collaboration avec Astex Pharmaceuticals en vue de développer et de commercialiser l’erdafitinib.15

Veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations sur la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions à prendre lors de l’utilisation de l’erdafitinib.2

▼ Conformément aux réglementations de l’EMA relatives aux nouveaux médicaments, l’erdafitinib fait l’objet d’un contrôle supplémentaire.   

À propos du carcinome urothélial
Le carcinome urothélial (CU) apparaît dans la paroi la plus interne de la vessie.16 La plupart des cancers de la vessie - plus de 90 pour cent - sont des CUs.17 Jusqu’à un patient sur cinq (20 pour cent) chez qui un carcinome urothélial métastatique a été diagnostiqué présente une altération génétique du récepteur des facteurs de croissance des fibroblastes (FGFR).8 Les FGFR sont une famille de récepteurs à tyrosine kinase qui peuvent être activés par des altérations génétiques dans divers types de tumeurs et qui peuvent entraîner une augmentation de la croissance et de la survie des cellules tumorales.18 Les FGFR jouent un rôle clé dans plusieurs processus biologiques, notamment la réparation des tissus, la réponse inflammatoire et le métabolisme.19 Les fusions ou les mutations des gènes qui contrôlent les FGFR (connues sous le nom d’altérations FGFR1-4) peuvent conduire au développement et à la progression de certains cancers en augmentant la croissance et la survie des cellules tumorales.20 Les patients atteints d’un CU avancé, y compris les tumeurs induites par les FGFR, sont confrontés à un pronostic défavorable et le besoin de thérapies novatrices reste important.21 Le taux de survie à cinq ans pour les patients atteints d’un cancer de la vessie métastatique qui s’est propagé à des parties éloignées du corps est actuellement de 8 pour cent.22

À propos des tests FGFR
La recherche de mutations somatiques et de fusions dans les gènes FGFR permet d’identifier les patients atteints de carcinome urothélial qui pourraient être éligibles à un traitement ciblant les FGFR, tel que l’erdafitinib.23 L’identification des altérations des FGFR pouvant donner lieu à une action peut déboucher sur une thérapie centrée sur les biomarqueurs.24 Les tests des FGFR visant à détecter les mutations et les fusions génétiques peuvent être effectués à l’aide de tests validés mis au point par les laboratoires et faisant appel à la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) et aux techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS), comme le recommandent les lignes directrices de 2024 de l'ESMO et de l'EAU.24,25,26 Ces lignes directrices recommandent des tests moléculaires/génomiques précoces, idéalement lors du diagnostic d’un cancer de la vessie avancé, afin de faciliter la prise de décision en matière de traitement et d’éviter les retards dans l’administration des lignes de traitement ultérieures.26,27


À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous donnons la priorité à la santé. Notre force d’innovation en matière de soins de santé nous permet de construire un monde où les maladies complexes sont prévenues, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise dans le domaine de la médecine innovante et des technologies médicales, nous sommes les plus à même d’apporter des innovations à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui pour faire advenir les avancées de demain et avoir un impact majeur sur la santé de l’humanité.

Apprenez-en plus à l’adresse suiva : https://www.twitter.com/JNJInnovMedEMEA. Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea pour découvrir nos dernières actualités. Janssen-Cilag International NV et Janssen Pharmaceutica NV sont des sociétés de Johnson & Johnson.

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Avertissement concernant les déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », au sens de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995, relatives au développement du produit ainsi qu’aux avantages potentiels de l’erdafitinib et à l’impact de ce dernier lorsqu’il est utilisé dans le cadre d’un traitement. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus venaient à se présenter, les conséquences réelles pourraient différer sensiblement des attentes et projections de Janssen-Cilag International NV, de Janssen Pharmaceutica NV ou de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les changements dans le comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les changements dans les lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé, et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces documents sont disponibles en ligne aux adresses suivantes : http://www.sec.gov/ http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen-Cilag International NV, Janssen Pharmaceutica NV ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour une déclaration prospective à la suite de la publication de nouvelles informations ou de futurs événements. 

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*Le professeur Loriot a fourni des services de consultation, de conseil et d’intervention pour Johnson & Johnson; il n’a pas reçu de rémunération pour son travail médiatique.

**Des intervalles de confiance répétés sont fournis.

Références

1 Loriot Y, et al. Phase 3 THOR study: Results of erdafitinib (erda) versus chemotherapy (chemo) in patients (pts) with advanced or metastatic urothelial cancer (mUC) with select fibroblast growth factor receptor alterations (FGFRalt). J Clin Oncol 2023;41(17). Disponible à l’adresse : https://doi.org/10.1200/JCO.2023.41.17_suppl.LBA4619. Consulté en août 2024.

2 Balversa® (erdafitinib). Summary of Product Characteristics. Consulté en août 2024.

3 Globocan 2022. Europe Cancer Factsheet. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/cancers/30-bladder-fact-sheet.pdf. Consulté en août 2024.

4 Globocan 2020. Europe Cancer Factsheet. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.fr/today/data/factsheets/populations/908-europe-fact-sheets.pdf. Consulté en août 2024.

5 Cancer.net. Bladder cancer: introduction. Disponible à l’adresse : https://www.cancer.net/cancer-types/bladder-cancer/introduction#:~:text=Urothelial%20carcinoma%20(or%20UCC)%20accounts,that%20line%20the%20urinary%20tract. Consulté en août 2024.

6 Fernandez E, et al. Prognostic value and clinical significance of FGFR genomic alterations (GAs) in metastatic urothelial cancer patients. J Clin Med 2022;11(15):4483.

7 Cancer.gov. Bladder Cancer Prognosis and Survival Rates – NCI (2023). Disponible à l’adresse : https://www.cancer.gov/types/bladder/survival. Consulté en août 2024.

8 Montazeri K & Bellmunt J. Erdafitinib for the treatment of metastatic bladder cancer. Expert Review of Clinical Pharmacology. 2020;13(1):1-6.

9 Clinicaltrials.gov. A Study of Erdafitinib Compared With Vinflunine or Docetaxel or Pembrolizumab in Participants With Advanced Urothelial Cancer and Selected Fibroblast Growth Factor Receptor (FGFR) Gene Aberrations (THOR). Disponible à l’adresse : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT03390504?term=NCT03390504&draw=2&rank=1. Consulté en août 2024.

10 Loriot Y, et al. Erdafitinib Prolongs Survival in Patients with Metastatic Urothelial Carcinoma and FGFR Alterations After Previous Anti–PD1(-L1) Treatment. Disponible à l’adresse : https://www.esmo.org/oncology-news/erdafitinib-prolongs-survival-in-patients-with-metastatic-urothelial-carcinoma-and-fgfr-alterations-after-previous-anti-pd1-l1-treatment. Consulté en août 2024.

11 Tabernero J, et al. Phase I dose-escalation study of JNJ-42756493, an oral pan-fibroblast growth factor receptor inhibitor, in patients with advanced solid tumours. J Clin Oncol. 2015;33:3401–3408.5

12 Clinicaltrials.gov. Study of Erdafitinib Intravesical Delivery System for Localized Bladder Cancer. Disponible à l’adresse : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05316155. Consulté en août 2024.

13 Clinicaltrials.gov. A study to evaluate TAR-210 versus single agent intravesical cancer treatment in participants with bladder cancer. Disponible à l’adresse : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT06319820. Consulté en août 2024.

14 JnJ.com. U.S. Food and Drug Administration Grants Full Approval for BALVERSA® to Treat Locally Advanced or Metastatic Bladder Cancer with Select Genetic Alterations. Disponible à l’adresse : https://www.jnj.com/media-center/press-releases/u-s-food-and-drug-administration-grants-full-approval-for-balversa-to-treat-locally-advanced-or-metastatic-bladder-cancer-with-select-genetic-alterations. Consulté en août 2024.

15 Astex Therapeutics Limited. Astex Announces New Drug Discovery Alliance with Janssen Pharmaceutica N.V. 2008. Disponible à l’adresse : https://astx.com/wp-content/uploads/2016/11/ASTX_News_2008_6_9_General_Releases.pdf. Consulté en août 2024.

16 Tanaka M, Sonpavde G. Diagnosis and Management of Urothelial Carcinoma of the Bladder. Postgraduate Medicine 2011;123(3):43-55.

17 Milojevic B, et al. Urothelial carcinoma: Recurrence and risk factors. J BUON 2015;20(2):391-8.

18 Presta M, et al. Fibroblast growth factors (FGFs) in cancer: FGF traps as a new therapeutic approach. Pharmacol Ther 2017;179:171-187.

19 Xie Y, et al. FGF/FGFR signaling in health and disease. Sig Transduct Target Ther 2020;5(181):1-38.

20 Katoh M. Fibroblast growth factor receptors as treatment targets in clinical oncology. Nat Rev Clin Oncol 2019;16(2):105-122.

21 Loriot Y, et al. Erdafitinib in Locally Advanced or Metastatic Urothelial Carcinoma. N Engl J Med 2019;381(4):338-348.

22 American Cancer Society. Survival Rates for Bladder Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.cancer.org/cancer/types/bladder-cancer/detection-diagnosis-staging/survival-rates.html. Consulté en août 2024.

23 De Luca A, et al. FGFR fusions in cancer: from diagnostic approaches to therapeutic intervention. Int J Mol Sci 2020;21(18):6856.

24 Schmidt KT, et al. Precision oncology medicine: the clinical relevance of patient-specific biomarkers used to optimize cancer treatment. J Clin Pharmacol 2016;56(12):1484–1499.

25 Witjes J.A. et al. EAU guidelines on muscle-invasive and metastatic bladder cancer. Disponible à l’adresse : https://uroweb.org/guidelines/muscle-invasive-and-metastatic-bladder-cancer. Consulté en août 2024.

26 Powles T et al. ESMO Clinical Practice Guideline interim update on first-line therapy in advanced urothelial carcinoma. Annals of Oncology 2024;35(6): 485-490.

27 Powles T, et al. Bladder cancer: ESMO clinical practice guideline for diagnosis, treatment and follow-up. Ann Oncol 2022;33(3):244–258.​

CP-467177
Août 2024

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