Le traitement prophylactique par dexaméthasone réduit les réactions liées à la perfusion chez les patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules avancé muté EGFR et traités par RYBREVANT® ▼ (amivantamab) par voie intraveineu


La prémédication à une dose de 8 mg à entraîné un taux de réaction lié à la perfusion de 22,5 pour cent avec l'amivantamab par voie intraveineuse, soit trois fois moins que le taux de 67,4 pour cent historiquement observé lors de la prise en charge standard des RLP.1,2

BEERSE, BELGIQUE, 13 sept. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé ce jour les résultats de l'étude SKIPPirr ouverte de Phase 2, qui a évalué des stratégies prophylactiques supplémentaires pour réduire l'incidence des réactions liées à la perfusion (RLP) avec RYBREVANT®▼ (amivantamab) par voie intraveineuse (IV) chez les patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé avec des mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) par délétion dans l'exon 19 (ex19del) ou par substitution L858R.1 Beaucoup d'anticorps monoclonaux sont associés à des taux plus élevés de RLP, et les RLP associées à l'amivantamab suscitent un intérêt particulier pour l'Agence européenne des médicaments (EMA).2,3 L'étude, dans laquelle 40 patients ont été inclus, a démontré qu'une prophylaxie par dexaméthasone 8 mg administrée pendant les deux jours précédant la première perfusion répondait au critère d'évaluation principal en matière d'incidence de RLP au Jour 1 du Cycle 1 (J1C1), avec un taux de RLP tous grades confondus avec l'amivantamab par voie IV de 22,5 pour cent.1 L'étude comportait trois bras supplémentaires explorant différents schémas prophylactiques : le groupe 1 (dexaméthasone 4 mg, une dose administrée par voie orale deux fois par jour le jour précédant le traitement), le groupe 3 (montélukast 10 mg, cinq doses les quatre jours précédant le traitement et le jour du traitement) et le groupe 4 (méthotrexate 25 mg par injection sous-cutanée, administré entre les jours 7 et 3 précédant le traitement).1 Les groupes 1, 3 et 4 ont été arrêtés pour cause de futilité.1 Les résultats du groupe 2 (dexaméthasone 8 mg, administrée deux jours avant la perfusion) ont démontré une incidence des RLP trois fois inférieure par rapport aux données historiques de la prise en charge standard des RLP avec l'amivantamab par voie IV, qui révèlent un taux d'incidence tous grades confondus de 67,4 pour cent.1,2 Les données ont été présentées sous forme d'une mini-présentation orale lors de la conférence mondiale sur le cancer du poumon 2024 (World Conference on Lung Cancer, WCLC) de l'International Association for the Study of Lung Cancer (IASLC) organisée à San Diego, Californie, du 7 au 10 septembre (résumé n° 1785).1

« Ces données fournissent des informations importantes qui pourraient contribuer à améliorer l'expérience des patients avec le traitement par amivantamab par voie intraveineuse, » déclare Gilberto Lopes, Docteur en médecine, Directeur Associé du Département d'Oncologie Mondiale au Sylvester Comprehensive Cancer Center, qui fait partie de la Miller School of Medicine de l'Université de Miami, et auteur présentateur*. « Cette étude démontre qu'une approche facilement accessible consistant à augmenter la dose de dexaméthasone en tant que prophylaxie pré-traitement peut contribuer à réduire les RLP. Il est encourageant de constater un taux de RLP trois fois inférieur observé dans le cadre de l'étude SKIPPirr par rapport aux données historiques. »  

« Chez Johnson & Johnson, nous nous engageons avec conviction à faire progresser les soins aux patients et améliorer l'expérience thérapeutique des personnes atteintes d'un cancer du poumon non à petites cellules muté EGFR, » déclare Henar Hevia, Titulaire d'un doctorat, Directrice Principale du Secteur Thérapeutique EMEA pour l'Oncologie chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Les résultats de cette étude montrent la valeur des stratégies de prise en charge globales, notamment des interventions prophylactiques telles qu'avec la dexaméthasone, afin de réduire les RLP et optimiser l'expérience de traitement avec l'amivantamab par voie intraveineuse et le lazertinib par voie orale. 

Dans la cadre de l'étude, les patients ont reçu un régime de dexaméthasone par voie orale à domicile, avec une dose de 8 mg administrée deux fois par jour les deux jours précédents et une dose une heure avant de recevoir de l'amivantamab par voie IV, en plus du régime prophylactique standard.1 Le traitement par amivantamab a été administré en association avec le lazertinib.1 Toutes les RLP étaient de grade 1 ou 2, et aucun patient n'a dû être hospitalisé en raison d'une RLP.1 Aucun événement de RLP de grade 3 ou plus n'a été signalé.1 Par ailleurs, le profil d'innocuité de l'amivantamab et du lazertinib avec de la dexaméthasone en prophylaxie au début du traitement était cohérent avec les études précédentes.1 Les symptômes liés aux RLP les plus fréquemment observés dans le cadre de l'étude étaient les nausées (8 pour cent), la dyspnée (5 pour cent) et l'hypotension (5 pour cent).1

« Réduire le risque de RLP est un aspect essentiel de l'amélioration de l'expérience globale des traitements pour les patients qui reçoivent de l'amivantamab par voie intraveineuse et du lazertinib par voie orale, » a déclaré Mark Wildgust, Titulaire d'un doctorat, Vice-Président des Affaires Médicales Mondiales en Oncologie chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « En intégrant un schéma thérapeutique supplémentaire à base de dexaméthasone prophylactique par voie orale, nous pouvons contribuer à atténuer ce risque, dans le but de permettre aux patients de poursuivre leur traitement avec moins d'interruptions. »  

Des études supplémentaires sont en cours afin d'évaluer les stratégies prophylactiques visant à réduire les RLP chez les patients recevant de l'amivantamab par voie IV.

À propos de l'étude SKIPPirr
SKIPPirr (NCT05663866) est une étude de Phase 2 évaluant l'amivantamab en association avec le lazertinib chez des patients atteints d'un CPNPC avancé présentant une mutation de l'EGFR après progression de la maladie sous osimertinib et chimiothérapie à base de platine.1,4 Tous les patients ont reçu du lazertinib par voie orale et de l'amivantamab par voie IV.1 L'étude a utilisé un schéma en deux étapes de Simon pour évaluer différents traitements préventifs dans quatre groupes.1 Le premier groupe a reçu de la dexaméthasone (4 mg) par voie orale, deux fois par jour, le jour précédant le traitement, pour un total de deux doses.1 Le deuxième groupe a reçu une dose plus élevée de dexaméthasone (8 mg) par voie orale deux fois par jour, les deux jours précédant le traitement, et le matin de la perfusion (5 doses au total).1 Le troisième groupe a reçu du montélukast (10 mg) par voie orale, les quatre jours précédant le traitement et le jour du traitement, soit un total de cinq doses.1 Pour finir, le quatrième groupe a été traité avec une dose unique de méthotrexate (25 mg), administrée par injection sous-cutanée entre les jours 7 et 3 précédant le traitement.1 Le critère d'évaluation principal de l'étude est l'incidence des RLP au Jour 1 du Cycle 1.1

À propos de l’amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique anti EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et exploite le système immunitaire5,6,7,8

La Commission européenne (CE) a accordé une autorisation de mise sur le marché pour l’amivantamab selon les indications suivantes :9

  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR
  • En monothérapie, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine
  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec délétions de l’exon 19 de l’EGFR (ex19del) ou substitutions L858R, après échec d’un traitement antérieur comprenant un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de l’EGFR

En février 2024, une demande d’extension d'indication de type II a été soumise à l’EMA sur la base de l’étude MARIPOSA portant sur l’amivantamab en association avec le lazertinib dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations fréquentes de l’EGFR de type délétion ex19del ou substitution L858R.10 En mai 2024, une demande d’extension de l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab a été déposée en vue d’obtenir l’autorisation d’utiliser une formulation sous-cutanée (SC) de l’amivantamab en association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations ex19del ou L858R de l’EGFR, et pour l’utilisation de l’amivantamab SC en monothérapie chez les patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations d’insertion activatrices de l’exon 20 de l’EGFR après échec d’un traitement à base de platine.11

Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit.9

▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire. 

À propos du cancer du poumon non à petites cellules
On estime qu’en Europe, un cancer du poumon a été diagnostiqué chez 484 306 personnes en 202212. Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.13 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, responsable de plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.12

Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.13 Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.13,14 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec une histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.15,16,17,18 Les mutations ex19del de l’EGFR ou L858R de l’EGFR sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.19 Le taux de survie à cinq ans pour toutes les personnes atteintes d'un CPNPC et présentant des mutations de l'EGFR traitées par inhibiteurs de la tyrosine kinase (ITK) de l'EGFR est inférieur à 20 pour cent, et entre 25 et 32 ​​pour cent des patients recevant de l'osimertinib, le traitement de première ligne de référence actuel, ne survivent pas assez longtemps pour accéder au traitement de deuxième ligne.20,21,22

À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force d’innovation en matière de soins de santé nous permet de construire un monde où les maladies complexes sont prévenues, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise en matière d’innovation au service de la médecine et de technologie médicale, nous sommes particulièrement bien placés pour apporter un souffle nouveau à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui afin de réaliser les percées de demain et d’avoir un impact profond sur la santé de l’humanité. 

Pour en savoir plus, consultez le site www.janssen.com/emea. Suivez-nous sur http://www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea/. Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. et Janssen-Cilag International NV sont des sociétés Johnson & Johnson.

Avertissement concernant les déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995 concernant le développement du produit et les bénéfices potentiels et l’impact sur le traitement de l’amivantamab et du lazertinib. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou des incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. and Janssen-Cilag International NV, et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes incluent, de manière non exhaustive, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, les difficultés et retards de fabrication, la concurrence, y compris les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires, les changements de comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les modifications des lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. et Janssen-Cilag International NV, ni Johnson & Johnson ne s'engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d'événements ou développements futurs. 

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*Le Dr Gilberto Lopes a été consultant auprès de Janssen-Cilag International NV ; il n’a pas été rémunéré pour son travail dans les médias.

Références :


1 Lopes G, et al. Preventing Infusion-related Reactions with Intravenous Amivantamab: Primary Results From SKIPPirr, a Phase 2 Study​. Présentation orale à la WCLC de l'IASLC 2024. 10 septembre 2024.

2 Park K, Sabari JK, Haura EB, et al. Management of infusion-related reactions (IRRs) in patients receiving amivantamab in the CHRYSALIS study. Lung Cancer. 2023;178:166-171. 

3 Barroso A, et al. Management of infusion-related reactions in cancer therapy: strategies and challenges. ESMO Open. 2024;9(3):102922.

4 ClinicalTrials.gov. Premedication to Reduce Amivantamab Associated Infusion Related Reactions (SKIPPirr). Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/study/NCT05663866 Consulté en : septembre 2024.

5 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. MAbs 2017;9(1):114-126.

6 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.

7 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov 2020;10(8):1194-1209.

8 Vijayaraghavan S, et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther 2020;19(10):2044-2056.

9 Agence européenne des médicaments. Résumé des caractéristiques du produit de l’amivantamab. Juillet 2024. Disponible à l'adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf Consulté en : septembre 2024.

10 Janssen.com/EMEA. Janssen Submits Type II Extension of Indication Application to the European Medicines Agency Seeking Approval of RYBREVANT®▼ (amivantamab), in combination with Lazertinib, for the First-Line Treatment of Patients with EGFR Mutated Non-Small Cell Lung Cancer. https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/amivantamab_mariposa_ema_filing_release_2024_2.pdf. Consulté en : septembre 2024.

11 Janssen.com/EMEA. Johnson & Johnson submits application to the European Medicines Agency seeking approval of subcutaneous formulation of RYBREVANT®▼ (amivantamab) for the treatment of patients with EGFR-mutated non-small cell lung cancer. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/sites/www_janssen_com_emea/files/jj_asco_paloma-3_-_ema_filing_press_release.pdf Consulté en : septembre 2024.

12 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/populations/908-europe-fact-sheet.pdf. Consulté en : septembre 2024.

13 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res 2016;5(3):288–300.

14 Wee P & Wang Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers 2017;9(12):52.

15 Pennell NA, et al. A phase II trial of adjuvant erlotinib in patients with resected epidermal growth factor receptor-mutant non-small cell lung cancer. J Clin Oncol 2019;37(2):97-104.

16 Burnett H, et al. Epidemiological and clinical burden of EGFR exon 20 insertion in advanced non-small cell lung cancer: a systematic literature review. Extrait présenté à l’occasion de la Réunion annuelle de la Conférence mondiale sur le cancer du poumon (Singapour) ; 29 janvier 2021.

17 Zhang YL, et al. The prevalence of EGFR mutation in patients with non-small cell lung cancer: a systematic review and meta-analysis. Oncotarget. 2016;7(48):78985-78993.

18 Midha A, et al. EGFR mutation incidence in non-small-cell lung cancer of adenocarcinoma histology: a systematic review and global map by ethnicity. Am J Cancer Res 2015;5(9):2892-2911.

19 American Lung Association. EGFR and Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.lung.org/lung-health-diseases/lung-disease-lookup/lung-cancer/symptoms-diagnosis/biomarker-testing/egfr. Consulté en : septembre 2024.

20 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol 2016 Apr;11(4):556-65.

21 Nieva J, et al. A real-world (rw) observational study of long-term survival (LTS) and treatment patterns after first-line (1L) osimertinib in patients (pts) with epidermal growth factor receptor (EGFR) mutation-positive (m) advanced non-small cell lung cancer (NSCLC). Ann Oncol 2023;34, S774.

22 Girard N, et al. Mortality among EGFR-mutated advanced NSCLC patients after frontline osimertinib treatment: A real-world, US attrition analysis. J Thorac Oncol 2023;18(4), S51-52.

CP-473649
September 2024

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